Le Rayon d'Amour.

  

Témoignage de Yacin


  

« Il y eu ce matin, où rien ne me laissait présager un tel contact avec le ciel…,  avec le divin !

Je suis parti de chez moi pour aller au sport. Je suis passé par la place de la victoire, située à côté de la cathédrale de Clermont-Ferrand. Le ciel était couvert, il ne faisait pas très chaud. Aucun soleil ne sortait de ce ciel chargé de gris. J’ai pris la rue des gras. À côté de moi, il y avait du monde qui marchait. Les gens auraient pu voir ce que j ai vu, ou alors cela n'était destiné qu’à moi.

J’écrivais un texto à un ami, quand, tout à coup, j’ai levé les yeux au ciel et un rayon lumineux en est sorti, large comme un rayon du soleil. Sa lumière était d’un blanc comme il n’en  existe pas sur Terre : clair, chaud, aimant et fort, oui fort ! Voilà comment était ce rayon, et j’ai senti ce rayon descendre jusqu’à moi,  jusqu’au CŒUR.  Je l’ai bien senti sur ma poitrine, ça m’a arrêté dans mon élan... Sincèrement, je crois que je me serais mis à genoux si les gens n’avaient pas été là. 

 J’ai ressenti un amour tellement fort… tellement pas d’ici ! Je ne sais pas ce que m’a voulu le ciel ce jour là. Tout ce que je sais, c’est que ça fait deux fois dans mon existence, à un an d’intervalle, que cette Lumière fait son apparition dans ma vie !  On aurait dit un tunnel, comme si j’étais happé par ce tunnel lumineux.

Le soir venu, je me suis mis dans mon lit et j’ai ressenti une force très christique dans ma pièce. J’ai ressenti encore une fois beaucoup d’amour. Je me souviens avoir pleuré et m’être revu a Jérusalem sur le mont des oliviers. C’est bizarre, mais quand j’ai ressenti cette force, c’est comme si elle voulait me  faire revivre mon séjour en Israël.

 

Après ça, j’ai reçu le message qui suit » :

  

« Et je regarderai mon humanité se détruire devant mes yeux pleurant…

Je regarderai mon humanité se déchirer devant mon cœur plein d’amour…

Je regarderai mon humanité marcher, allant aux abattoirs, devant mes pas fuyant...

Je regarderai mon humanité disparaitre de ce plan,

et je les regarderai de là-haut me disant : mon humanité n’a rien compris...

Mon humanité, à l’heure des croisées des chemins, n’a pas su ouvrir les yeux…

N’a pas su ouvrir son cœur,

N’a pas su marcher,

N’a pas su exister… »