Linceul du Christ, nouveaux indices.

De Marie-Madeleine Jacob, d'après le livre :

( Marie-Madeleine, le secret délivré )

En cette fin des grandes vacances 2006, nous avions, avec mon compagnon Jean, programmé un week-end à Paris.

Ayant lu le livre Da Vinci Code et profitant de notre séjour dans la capitale, nous en profitons pour nous rendre à l’église Saint-Sulpice afin d’y observer le gnomon. Après avoir vu ce que nous voulions voir, nous faisons le tour de l'église et arrivons à hauteur de la chapelle Saint François-Xavier située au fond de l'église, à gauche en entrant. Dans cette chapelle, sont placés deux grands cadres exposant une reproduction photographique du linceul de Turin grandeur nature, faisant apparaître le corps du Christ supplicié.

Pour reprendre les propos de Jean-Paul II : « Le linceul de Turin reste une provocation à l'intelligence. »

Aujourd'hui encore, malgré les progrès de la science, aucun scientifique n'a pu résoudre les très difficiles problèmes posés par ce tissu unique en son genre dans le monde. Si les dernières recherches scientifiques menées pour authentifier le tissu comme étant celui qui a enveloppé le corps de Jésus, n'ont pas abouti - tout du moins en permettant de dater la fabrication du tissu et d'en découvrir l'origine de fabrication - je retiendrai deux questions essentielles :

- Comment l'image s'est-elle formée ?

- Comment l'homme enseveli dans ce tissu a-t-il pu le quitter moins de quarante heures après y avoir été déposé, sans arracher aucun caillot de sang ?

Par ailleurs, en examinant le tissu, des images apparaissent dont nul n'a osé parler aujourd'hui. Ce silence paraît bien surprenant.

Beaucoup d'entre nous savent que la science n'a pas réponse à tout, et que des explications peuvent nous parvenir d'autres sources, non officielles. Sans pour autant les prendre comme étant la Vérité, elles peuvent, concernant l'explication de l'image révélée par le tissu, conduire sur une nouvelle piste de recherche.

Cette image si particulière et qui reste une énigme hors du commun.

Le linceul est une sorte de drap qui servait à ensevelir les morts, notamment chez les juifs à l'époque du Christ. Il fait le tour du corps dans le sens de la longueur. La pièce de tissu est donc importante. Le linceul de Turin mesure 4,30 m de long sur 1,10 m de large. Il n'est pas à confondre avec le suaire qui, quant à lui, désigne une sorte de serviette ou de grand mouchoir que l'on nouait autour de la tête pour maintenir la bouche en position fermée.

C'est au hasard d'une photo prise en 1898 par Secondo Pia avocat italien passionné de photo que le monde eut la révélation du vrai visage de la personne enveloppée dans ce tissu. Lorsqu'il développa le négatif, il eut la stupéfaction de découvrir un visage d'homme beaucoup plus lisible que l'original apparaissant sur le tissu. Bizarrement, il avait devant lui un positif.

L'empreinte du corps comporte sur le linceul original deux teintes : blonde pour le corps, plus rose pour le sang. C'est donc cette impression de couleur blonde qui s'impose comme un mystère.

Dans une ancienne revue mensuelle : « Fêtes et saisons » datée de février 1983, un numéro spécial est consacré au linceul. À cette époque, le linceul n'avait pas encore subi l'épreuve du carbone 14 permettant de dater le tissu, mais les scientifiques s'interrogeaient : « vapographie, image latente, brûlure ultra rapide, mais forte, brûlure très faible, mais de plus longue durée ? » Voilà autant d'expressions pour qualifier la trace observée. La datation effectuée dernièrement n'est pas concluante. Une controverse existe. Les échantillons auraient été prélevés dans les tissus réparés. Néanmoins, la grande question subsiste à propos de l'apparition de cette image d'un corps supplicié, ressemblant étrangement à celui de Jésus grâce aux indices donnés ( la trace de la couronne d'épines, le coup de lance sur le côté etc.)

Depuis, nul n‘a été capable d’expliquer la formation de cette image et le même constat s’impose encore aujourd’hui.

Dernièrement, la galerie d'art allemande Kunst Kreis a obtenu sur un tissu de lin à chevrons semblable au Linceul, une image jaune-brun sur fond jaune paille, magnifique et très réaliste (selon l’avis de madame Crispino, spécialiste de renom). Mais, bien que cette image ressemble à une brûlure encore plus superficielle que celle du Linceul, la « roussissure monochrome » mise en œuvre par plusieurs passages à des intensités différentes, n’a traité que la chaîne qui est en relief comme sur le Linceul. La trame qui est en creux apparaît toute blanche alors que sur le Linceul c'est exactement le contraire.

Tous restent dans l'incapacité de reproduire une telle image sur un tissu semblable.

Une traduction de l'évangile selon St Jean, (chapitre 20) relatant la découverte de la disparition du corps, fait état de détails à regarder de très près :

Le premier jour de la semaine, à l'aube, comme il y avait encore des ténèbres, Marie-Madeleine vient au tombeau et voit la pierre enlevée du tombeau. Alors, elle court et elle arrive près de Simon Pierre et de l'autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « Ils ont enlevé du tombeau le Seigneur et nous ne savons pas où ils l'ont mis. »

Pierre sortit avec l'autre disciple pour venir au tombeau. Ils couraient tous deux ensemble, mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. En se penchant, il voit que les linges sont affaissés. Toutefois, il n'entra pas. Arrive alors également Simon Pierre qui le suivait et il entra dans le tombeau. Et il considère les linges affaissés et le suaire qui était sur la tête, non pas affaissé avec les linges, mais distinctement enveloppé et enroulé à sa place.

Le fait que la pierre ait roulé peut faire penser que quelqu'un a ouvert le tombeau et pris le corps de Jésus. Mais plus loin dans le récit, le premier regard jeté à l'intérieur de la tombe et qui est celui de Jean, constate que le tombeau est vide, mais que les linges sont encore là, affaissés. Ils ne sont pas ouverts ou posés ailleurs. Le suaire forme un cercle comme lorsqu’il entourait la tête du mort ; il est resté à sa place à l'intérieur du linceul. On peut donc en déduire que le corps n'a pas été subtilisé par quelqu'un. Si cela avait été le cas, pourquoi cette personne aurait-elle enlevé le corps sans emporter le linceul, ou, si elle avait agi dans la précipitation, comment aurait-elle eu le temps de reposer le linceul correctement et d'enlever le suaire pour le replacer à l'endroit de la tête?

Ceci accrédite la thèse qui suppose que le corps n'a pas été arraché au tissu, ou que Jésus n'est pas davantage sorti physiquement de son tombeau. Ce qui se serait traduit, pour le moins, par le détachement de caillots de sang. Dans ce cas, le corps semble s'être volatilisé, mais comment l'expliquer ?

Le 28 juillet 2008, Olivier nous communique un surprenant et inattendu message de Marie-Madeleine, compagne de Jésus :

« Le Christ Jésus a été désintégré immédiatement après sa mise au tombeau par la seule volonté de son esprit, dont la puissance spirituelle alliait la perfection absolue. Le corps de mon maître : mon amant divin, s'est imprimé sur le linge qui l'enveloppait et que tout le monde ou presque connaît. Je veux parler du fameux linceul de Turin. Il est rigoureusement exact. Si la science ne l'a pas daté à mon époque, c'est parce que la science n'est pas exacte malgré sa certitude, tant s'en faut. »

Jésus, par la puissance de son esprit, a dématérialisé son corps. Mais le mystère reste entier sur la manière dont l'esprit peut agir physiquement sur la matière.

Cette dématérialisation oblige à se poser une autre question. Y a-t-il résurrection de la chair ? Je pense que dans ce cas, la réponse est non. Si Jésus a désintégré son corps grâce à la puissance de son esprit, alors la résurrection de Jésus n'est donc pas physique

Le mystère de la disparition, de l'évaporation d'un corps composé de chair et d'os reste entier. Peut-on croire que Jésus a réanimé son corps après sa mort ? Si cela était le cas, se poserait toujours la question de sa sortie du linceul sans qu'il déplace le tissu et sans détacher les caillots de sang formés par l'écoulement des plaies.

Rappelons-nous la puissance de son esprit à travers les récits du Nouveau Testament. Jésus guérit miraculeusement, il change l'eau en vin, multiplie les pains et redonne vie à des personnes déclarées mortes, comme son ami Lazare. Un nouveau message nous éclaire :

« Le Christ s'est lui-même fait disparaître, c'est-à-dire que la puissance de sa pensée l'a totalement éliminé. Le corps de Jésus a été désagrégé jusqu'à la plus infime de ses particules, telle une explosion très violente et combustible qui sépare et détruit les éléments de la matière. Pour l’essentiel, il en est resté une marque indélébile que vous tous connaissez. »

La marque indélébile observée sur le tissu est le résultat de cette dématérialisation, réussie grâce à la puissance de la pensée de cet homme. Un message le confirme :

« La puissance de la pensée ou la puissance de l'esprit sont de même origine. L'esprit est le siège de l'âme qui est elle-même le siège de la pensée. Ce qui veut dire que l'être qui pense est capable de transcender l'esprit et d'agir puissamment sur la matière. Les forces en mouvement sont considérables et rien de vos pensées ne se perd. Tout est en interaction. Tout agit, se modifie, se transforme, s'élimine ou se crée sous la puissance de votre pensée. Le cerveau n'est pas le siège de la pensée. Il n'est qu'un bouc émissaire facile pour tenter d'expliquer l'inexplicable ! Il est toujours aisé d'attribuer une fonction à un organe inconnu. C'est un prétexte facile, mais non moins rassurant ! »

La puissance spirituelle de Jésus lui permit de faire des choses extraordinaires. La matière lui obéissait au doigt et à l’œil. La puissance de l’esprit est inouïe. En fait, plus l'individu est connecté à son esprit, plus la matière devient pour lui de l'ordre de l'illusion.

Encore aujourd'hui, l'on s'interroge sur ces morts revenus à la vie peu de temps après leur décès. Jésus était en capacité de se relier à l'énergie cosmique, porteuse de vie. Il la captait et la renvoyait au mort. La matière recevant cette puissante décharge de vie se remettait en service, et toutes les cellules atteintes ou mortifiées se régénéraient alors radicalement sous son effet fulgurant, comme précisé dans ce message :

« Ceux qu’il ressuscitait étaient en état de mort latente, mais non accomplie. Ce qui veut dire que les cellules de leur corps n’avaient pas toutes rendu l’âme, selon l’expression consacrée. L’âme loge dans la moindre de vos cellules. Elle peut s’en détacher lorsque le lien qui unit le corps et l’esprit est définitivement rompu. Dans le cas des résurrections miraculeuses de Jésus, cette rupture n’avait pas encore eu lieu. Sinon, il n’aurait jamais pris le risque ni l’initiative de prolonger la vie d’une personne, alors que l’heure de la mort avait pour elle sonné. Non, le Christ n’était pas un réactivateur systématique de la vie physique. Il s’est simplement contenté de permettre à de nombreuses personnes d’aller au bout de leur mission terrestre, en leur accordant le sursis. Autrement dit, celles pour qui l’heure de la mort n’avait pas encore retenti. »

Quelle utilité y avait-il pour Jésus de se faire disparaître, hormis celle de laisser le souvenir de son passage sur cette terre ; la photographie n'existant pas encore ? Les esprits n'étaient pas très matures à l'époque, mais le sont-ils davantage aujourd'hui ? Jésus ne souhaitait pas entretenir la confusion entre l'existence de son corps physique mort et celui de son corps éthérique et spirituel. Il souhaitait laisser l'image d'un être devenu pleinement Lumière : double de son enveloppe charnelle sur laquelle ses disciples pouvaient reconnaître les marques des violences physiques qui lui avaient été infligées.

« Il aurait été difficile pour les gens de croire en sa survie, s'ils savaient que l'un des deux corps était toujours au tombeau. Ils auraient de nouveau cru à une apparition fantomatique ou à une hallucination quelconque. Le trouble serait resté présent dans leur esprit et la résurrection aurait été rendue très difficile à la compréhension. Il n'était pas acceptable pour le Christ de rendre floue sa résurrection. Il a souhaité que les choses soient claires et simples à comprendre pour les gens de l'époque. Malheureusement, à part quelques initiés, la plupart n'ont pas compris que son apparition n'était plus physique, mais simplement l'effet d'une matérialisation momentanée, réalisée avec la puissance de son esprit. »

La résurrection est donc un dogme religieux imbécile. Pourquoi est-il encore enseigné comme une vérité à croire ? Je vous laisse y réfléchir.

D'étranges images sur le linceul.

Habitués à voir des reproductions de la silhouette côté face, nous sommes étonnés de découvrir le côté dorsal. L'observation du dos de Jésus nous fait découvrir quelque chose d'étonnant : deux faciès inquiétants ressemblant à des animaux peu sympathiques apparaissent au niveau de la couronne d'épines, côté nuque. Et tout de suite de faire le rapprochement avec les représentations que l'on retrouve régulièrement dans les œuvres picturales de l'art chrétien pour représenter Satan, Belzébuth et ses acolytes. Ces effigies représentant le malin, que le tissu a immortalisées, sont bien réelles et visibles par toute personne observatrice :

Haut du dos et arrière de la tête. Trois démons apparaissent.


Tout cela nous paraît étrange et à notre connaissance, ce détail du linceul n'a jamais fait l'objet d'un signalement et encore moins de commentaires. Pourtant, il est difficile de ne pas voir les formes démoniaques. Quelle explication donner ? Olivier nous répond :

« Les figures qui apparaissent à l'arrière de la tête de Jésus sur le fameux linceul – qui est, nous le répétons, un authentique drap ayant enveloppé le corps ensanglanté de Jésus - sont le signe de la victoire sur Dieu. En se présentant sous cette forme avec son principal acolyte, – mais ils ne sont pas seuls, il y a en réalité plusieurs êtres diaboliques ou hideux qui apparaissent – Satan a voulu signifier à la Puissance Divine qu'il était capable de vaincre le plus évolué de ses fils. Mais le mal n'a toujours pas compris que ce sacrifice a été volontaire, et que le Seigneur Jésus aurait pu facilement s'en soustraire. Donc, il vous faut comprendre que cette effigie monstrueuse – que peu de personnes ont remarquée – n'est pas le signe de la victoire de Satan, mais celui de la victoire de Dieu. Car Satan ne pourra jamais contrarier les plans de l'ordre divin. »

Gros plan sur les portraits sataniques

( Belzébuth et son acolyte à gauche. Méphistophélès à droite de Belzébuth)

Belzébuth

Pourquoi cette image désagréable apparaissant au niveau de la nuque du Christ ? Cela détonne avec le personnage de Jésus. En effet, voir la représentation de Satan et consorts sur le corps martyrisé du Christ Jésus est comme une salissure, une souillure indélébile qui ne disparaîtra jamais de ce linge sacré. Comme la puissance de l'esprit peut volatiliser la matière, l'esprit du mal peut également se matérialiser sous la forme d'une image. Matérialisation, dématérialisation, empreinte mémoire, l'Univers ne perd rien.

Ces apparitions sont aussi là pour nous faire comprendre que l'Univers est régit par deux forces qui s'opposent de façon perpétuelle. Le mal personnifié au travers de cette image imprimant également le linceul signifie que nos pensées peuvent être porteuses de mort, qu'elles peuvent détruire la Vie. C’est l’action de l’humain, ses pensées, ses choix qui donnent naissance au mal. La pensée est créatrice dans les deux directions opposées. Jésus vivait en permanence accompagné de cette force opposée à lui-même, qui essayait de contrecarrer son action positive.