Le martyre innocent.

En ce dimanche 30 août 2009, nous tentons, entre amis, d'appréhender un autre aspect de cette logique divine qui, souvent, nous échappe. Ce sont les animaux qui sont une nouvelle fois au coeur de notre réflexion. En effet, si la notion de karma ou loi de cause à effet semble compréhensible et juste pour l'humain je sème.., je récolte... , qu'en est-il pour l'animal qui n'a pas à subir un choc, une épreuve, une souffrance quelconque à cause de ses actes ? Lesquels sont toujours pilotés par l'instinct et non par la conscience - au sens humain du terme -, dont il est dépourvu.

Pourquoi Dieu permet-il la souffrance des animaux ? Pourquoi d'innocentes créatures dépourvues de tout sentiment agressif ou haineux subissent-elles la souffrance ? L'au-delà nous éclaire :

« La souffrance des animaux n’a pas de sens spirituel. Elle est inconcevable et inadmissible.

Dieu ne peut pas intervenir dans le choix de l’humain qui provoque le mal. Il ne peut pas intervenir davantage lorsqu’il subit la souffrance. Les humains subissent eux-aussi une souffrance injustifiée, ce qui veut dire qu’elle n’est pas liée à leur évolution. Les humains qui souffrent ne subissent pas tous dans leur souffrance la loi du karma. Il est vrai qu’il n’est pas facile de s’y retrouver.

En ce qui concerne l’animal, c’est un peu différent. Les animaux ne sont pas régis par la loi de cause à effet : la loi du karma. Mais cela ne les empêche pas de subir le mal.

L’humain a son libre arbitre : le choix du bien, du mal ou de l’indifférence. Il peut l’utiliser contre lui-même, les autres humains, les animaux et même les végétaux. Comme l’humain, l’animal qui subit reçoit la Lumière qui limite sa souffrance. Malgré qu’il en ait conscience, l’animal ne souffre pas autant que vous pourriez le penser. Dieu apaise autant qu’il le peut les souffrances du martyr. Mais Dieu ne peut pas intervenir dans les choix de l’humain, quels qu’ils soient. L’animal est protégé par Dieu autant qu’il soit possible de le protéger, au même titre que les martyrs chrétiens qui ont bénéficié de la protection de Dieu. Ils ne souffraient pratiquement pas. »

L’histoire de Minette – une chatte ayant souffert dans un laboratoire – est alors évoquée :

« Elle est notre mascotte. Elle a subit les sévices des charcutiers de laboratoire. Elle a été capturée alors qu’elle errait dans les rues. Elle souffrait dans cette vie d’errance, mais n’imaginait pas que ses souffrances allaient alors s’amplifier. Elle avait confiance en l’homme qui l’a emportée dans un endroit bien chaud avec de la nourriture. Et là, va commencer sa vie de souffrance.

En fait, je vais vous faire bondir. Minette n’a pas souffert le martyre tel que vous l’imaginez. Bien sûr, elle a malgré tout souffert, mais Dieu et sa Lumière bienfaitrice l’ont protégée comme un véritable bouclier de la main du tortionnaire. Il pratiquait l’expérience sur Minette, mais Minette était immunisée lorsque le praticien intervenait. Ce qui veut dire que Dieu ne la laissait pas dans son corps, mais la libérait de cette enveloppe physique qui subissait la torture. C’est la raison pour laquelle elle léchait la main de son tortionnaire lorsqu’il venait la chercher.

Par son martyre, elle voulait faire prendre conscience à son tortionnaire de son amour inconditionnel pour lui qui la maltraitait. C’est l’exemple de Dieu que Minette propageait par son comportement : l’Amour inconditionnel du Créateur pour les âmes de la Terre, quels que soient leurs errements. En a-t-il pris conscience ? Oui, mais malheureusement, cet homme faisait partie d’un système et ne pouvait pas s’en retirer. Il restait manipulé par les individus opaques et les forces obscures qui sévissent en ces lieux. Pour eux, le mal de l’animal n’est rien à côté de celui que subit l’humain. L’animal est là pour enlever la souffrance de l’humain. Quand cessera donc cet asservissement ? L’humain comprendra-t-il un jour que l’animal n’est pas son esclave, mais son partenaire de vie au même titre que les autres humains ? Chacun devant jouer le rôle qui lui est imparti, sans jamais en souffrir au-delà de l’acceptable ! Sa vie ne doit pas être sacrifiée sur l’autel de la science ou de la religion.

La souffrance de l’animal n’est jamais vaine malgré l’horreur qu’elle vous fait voir ou subir. Elle n’est pas inutile car grâce à l’animal qui se sacrifie corps et âme, l’humain peut se ressaisir parce que l’animal devient alors un modèle et un enseignant, à l’image de notre Maître Jésus et des nombreux martyrs chrétiens que la Terre a portés. Ne vous inquiétez pas, l’animal n’est jamais seul. Nous lui rendons souvent visite. Nous lui apportons le réconfort. Il nous voit et comprend notre langage télépathique.

Martyrs chrétiens dans les arènes

Oui, Minette a souffert, mais elle est très heureuse que sa souffrance ait servi. Beaucoup de savants ont compris leurs erreurs et reviendront sur Terre pour protéger les animaux. Oui, l’animal est le grand vainqueur de la vie. C’est lui qui se retrouve après sa mort immédiatement au Paradis. Il n’y a pas de niveau intermédiaire pour eux. L’animal, s’il le souhaite, peut se réincarner. Ce n’est pas une obligation. Un animal qui aura subi injustement le martyre ne se réincarnera jamais en un animal martyr. Il sera toujours placé dans une famille où il rencontrera l’amour. Il n’y aura plus de privation. L’animal peut être domestiqué à partir du moment où les conditions de vie le permettent. Le bien-être et l’amour doivent être les conditions d’adoption de l’animal, quel qu’il soit. Il n’y a aucune limitation. Le cadre est clair, les responsabilités aussi.

L’animal martyr plaint son assassin, car l’animal martyr finit par mourir. Il ne sort jamais vivant d’un laboratoire. L’animal martyr plaint son assassin car il sait qu’il ne s’est pas préparé une vie facile. Il essaie de lui faire prendre conscience de son erreur pendant qu’il est temps. C’est pour cela que l’animal exprime par un regard ou un geste d’affection, sa compassion pour l’humain tortionnaire.

L’immunité divine – il vous faut le comprendre – vous protégera des souffrances : que vous soyez humain ou animal. La souffrance de l’animal est malheureusement inévitable. Elle existera tant que l’humain n’aura pas compris le sens de l’amour.

Le martyre de Sainte Blandine

Dieu n’est pas le seul Créateur de l’Univers. L’âme humaine est créée par Dieu, n’en ayez pas de doute. L’âme de l’animal également. Elle restera toujours une âme d’animal et ne se hissera jamais au niveau de l’âme humaine, même si parfois elle s’en rapproche beaucoup. Mais cela n’est pas grave, le règne animal a sa propre évolution et le règne humain a la sienne. Il ne peut être question de les confondre. Le règne animal est composé de tous les animaux utiles à la vie de l’homme et à sa croissance spirituelle.

L’âme de l’animal est taillée sur mesure en fonction de sa race. Elle peut bien sûr évoluer, mais dans les limites de sa vie sur la Terre. Ce qui veut dire qu’un animal sauvage peut devenir domestique et vice-versa. L’animal peut également servir l’humain et même être enseigné pour le faire. Enfin, d’instinct, l’animal peut se rendre utile à certaines occasions. Il peut être un signal pour l’humain. Il peut révéler le futur, les lendemains qui chantent ou qui le feront déchanter. Bref, l’animal peut, en toutes circonstances, prendre inconsciemment conscience que sa vie sur la Terre peut aussi évoluer. Ce qui fait que les animaux ne se ressemblent pas dans leur comportement.

L’animal peut prendre conscience, dans les limites de son intelligence instinctive, que l’humain peut l’aider, l’aimer, le sauver, le soigner… ou, dans l’autre sens, le haïr, le punir, le faire souffrir ou le détruire… L’animal adoptera, du fait de cette intelligence, une attitude correspondant à celle de l’humain qui le côtoie. L’animal est un être particulièrement sensible au champ vibratoire. Il sait d’instinct se diriger vers les bonnes vibrations utiles à santé. Mais, s’il est emprisonné ou privé de liberté, il ne peut plus le faire et devient malheureux. Oui, l’animal, en toutes circonstances, ne devrait jamais être privé de sa liberté, au même titre que l’humain.

Quant à l’insecte, son âme est bien différente, et c’est là que la création se diversifie vraiment. Les insectes les plus utiles, vous les connaissez. Mais les insectes nuisibles sont la création de l’opposant. En effet, je vous rappelle que Dieu : le Seigneur Absolu, a crée le bon et l’utile pour l’humain sur cette Terre. Mais, il laisse également se créer ou se développer le mauvais, si l’humain le désire. La liberté que Dieu donne à l’humain est totale, mais elle n’est pas sans risque. Ce sera à l’humain de le comprendre. Lorsqu’il fait de mauvais choix, l’humain voit se développer dans son environnement de mauvaises choses, et même parfois de véritables fléaux, tels que la maladie ou tout ce qui lui ressemble. L’esprit noir, pouvant lui-aussi devenir à cet instant créateur, peut développer sa propre création en totale liberté puisque Dieu le permet. C’est ainsi que vous pourrez observer la création ou l’évolution d’insectes dévastateurs, ou de variétés végétales nuisibles à l’humain et à sa vie. Par la même occasion, l’opposant de Dieu mobilisera de nombreuses âmes en détresse venues du plus profond des enfers et livrées corps et âme à la nuit, pour vous influencer…, pour vous encourager à poursuivre la destruction terrestre et la vôtre. Tout ceci n’est pas une fatalité, mais le seul résultat de vos choix, de vos pensées ou de vos actes. Vous devez le comprendre !

Actuellement, la disparition progressive des abeilles – insectes intelligents – n’a pas d’autre origine que leur destruction par les insectes nuisibles crées par l’opposant. Si demain, vous avez des invasions de sauterelles ou autres insectes particulièrement nuisibles à votre santé ou à vos cultures, ne cherchez pas. C’est que Dieu aura permis à ces insectes – crées par l’opposant – de vous polluer pour vous faire comprendre le sens de la vie et de vos erreurs.

La dérive de la conscience conduira toujours l’humain dans la dérive de sa vie.


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Le bio n’est pas du bio. Nous l’avons déjà dit, mais c’est un moindre mal. Il est préférable de consommer des produits naturels qui n’ont pas subi de mauvais traitements. Il existe de bons traitements. L’humain – de tout temps – a utilisé des traitements. Les plantes et les minéraux peuvent constituer de bons traitements.

Le mal engendre le mal, il en va toujours ainsi. La maltraitance, qu’elle soit végétale, animale ou humaine, engendrera la maltraitance contre l’humain. Il récoltera toujours le fruit de ses actes. »

Olivier et ses amis guides spirituels